Romans

Des textes pleins de douceur pour des thèmes qui ne le sont pas toujours.

Dans tous mes livres, vous trouverez…

Des personnages entiers

J’écris avant tout des êtres humains, avec leur lot de qualités et de défauts.

De l’amour sous toutes ses formes

Les relations entre les personnages sont toujours au cœur de l’histoire.

Une soif d’égalité

Mes textes sont résolument politiques, avec un accent particulier mis sur les différentes identités LGBTQIA+.

L’aberration, la vraie, ce n’est pas qui j’aime. C’est qui je hais.
Et ça non plus, je ne l’ai pas choisi.

Normandie, 2013. Baptiste entre tout juste dans la vie active et il n’a qu’une idée en tête : quitter le domicile familial au plus vite pour échapper à son père. En attendant, il tient bon. Ce serait plus facile si son chef ne lui hurlait pas dessus en permanence, avec une homophobie à peine voilée qui rappelle à Baptiste ce qu’il vit à la maison. Parfois, il se demande s’il est condamné à endurer ça où qu’il aille.

Il n’est pas seul, pourtant. Audrey est là pour lui quand, après l’insulte de trop, Baptiste claque la porte du restaurant où il travaillait, terrifié à l’idée de devoir annoncer la nouvelle à ses parents. Il y a aussi Elliot. Elliot qui fuit les reportages sur la Manif pour tous, qui s’indigne de la manière dont le père de Baptiste traite son fils, qui lui raconte, à mots couverts, comment c’est pour lui au lycée.

Quand leur soutien ne suffit plus, Baptiste trouve refuge dans la musique, seul moyen pour lui d’échapper à la brume écrasante qui enveloppe son monde. Il se répète que tout ira mieux une fois qu’il aura trouvé un nouvel emploi, mais ce moment tarde à arriver. Comment, alors, garder la tête hors de l’eau ?

Qu’est-ce que je pourrais dire pour le soulager ? Il n’y a rien à dire. Même le tenir dans mes bras, rien que ça, ça lui fait mal.

Normandie, 2013. Elliot a dix-sept ans et ça fait longtemps qu’il sait qu’il est gay. Il y a eu Baptiste, son voisin. Ils ne se sont pas vus depuis trois ans. Et aussi Lucas, dans sa classe.

Elliot ne compte rien dire. Le statu quo lui convient, et de toute façon Lucas a une copine. Ce n’est pas toujours évident de garder la face quand la Manif pour tous est au plus fort, mais tout va bien.

Quand Elliot essaie de trouver du réconfort dans la lecture et qu’il peine à trouver des personnages qui lui ressemblent, tout va bien. Quand Lucas se met tout à coup à l’éviter et menace au passage de faire exploser leur groupe d’amis, tout va bien. Quand Baptiste démissionne parce que son patron l’insulte, tout va bien. Quand Didier, son père, prend la défense des opposants au mariage pour tous et que personne n’y trouve rien à redire, tout va bien.

Tout va bien.

Vos avis sur Chocolat blanc et matcha latté

Les scènes légères succèdent à des moments plus difficiles, mais jamais voyeuristes. Malgré certains sujets très durs, le roman reste réconfortant, parfois drôle, grâce à ses deux protagonistes absolument adorables.
— Cécile, via Goodreads

Sans verser dans le mélodrame, le réalisme est d’une justesse saisissante. Tout ne va pas bien mais, à travers sa prose, l’autrice nous murmure que tout ira bien. Et moi, je la crois.
— Stéphanie, via Babelio

J’ai trouvé cette lecture particulièrement réconfortante et j’ai ressenti le livre comme un refuge, un endroit où je pouvais me sentir en sécurité du début à la fin. Parce que l’autrice aime ses personnages, indéniablement ; parce qu’elle aborde tous ces sujets avec une infinie justesse ; et parce qu’à côté de ces moments où le thème de l’homophobie et de la souffrance était clairement abordé, il y a tout un contexte rempli de personnages aimants et prévenants, présents pour soutenir le couple principal. Cette lecture a été viscérale, et elle m’a fait beaucoup de bien.
— Lucile, via Amazon

Sans magie, aucune vie n’est possible.

Dans un monde régi par les formules, Alice s’accommode de sa différence comme elle peut. Le moindre sort lui coûte toute son énergie, et elle ne compte pas mettre sa santé en péril pour satisfaire son entourage. À quoi bon ? Libraire spécialisée en magie et herboriste à ses heures perdues, elle n’espère qu’une chose : qu’on la laisse vivre ses passions comme elle l’entend.

Son frère, Eugene, n’a pas ce problème. De la magie, il en a à revendre. Trop, même : quand, une nuit, ses pouvoirs sont hors de contrôle, il frôle la mort dans un incendie et ne doit sa survie qu’à Will, un jeune homme mystérieux dont la puissance est sans pareille.

Au matin, plus une trace du garçon. Alice et Eugene pensent ne jamais le revoir, mais lorsque Will réapparaît devant chez eux, pieds nus, malade et terrifié, ils comprennent qu’à présent, c’est à leur tour de lui venir en aide.

Vos avis sur Nous sommes les Braises

Rash. a l’art de nous embarquer dans ces histoires en quelques lignes. Je ne savais pas à quoi m’attendre en plongeant dans ce roman d’un autre genre que le premier, mais une fois les trois premiers chapitres passés, je ne l’ai plus lâché.
— Billie, via Babelio

Nous sommes les Braises est un roman Fantasy Young-adult. Avec brio, l’autrice y alterne les points de vue d’Alice, d’Eugene et de Will et nous offre une histoire originale et addictive.
— Isabelle, via Booknode

Encore une fois une lecture que j’ai adoré dévorer. La plume toujours si fluide. De l’autoédition qui rivalise sans aucun problème avec des livres édités en maison.
L’esthétique du livre nous transporte dans l’univers sans aucun mal. La représentation de personnage atypique fait un bien fou. Ils ont tous leur propres insécurités, composent avec et avancent ensemble. Une vraie histoire d’amour, sous toutes ses formes.
— Anonyme, via Amazon